dimanche 15 avril 2007

Une femme pas comme les autres....elle est execptionnelle

Vous trouverez des commentaires sur sa vie, et une interview sur son news album çi dessous...extrait du site de RFI...

Interview de Patience Dabany

Que signifie le titre de votre nouvel album Obomya ?

Cela signifie "c’est arrivé", "ce qui devait arriver est arrivé", c’est mon album avec les voix des Pygmées. Nous sommes un grand pays de forêts, et le son de la forêt est très important pour nous.
Comment s’est passé l’enregistrement de cet album ?

J’ai commencé à enregistrer l’album à Libreville pour tout ce qui est rythmiques et voix, puis j’ai rencontré les Pygmées pour faire les chœurs avec un nagra. Nous sommes partis au sud-est du Gabon, à Franceville dans les plateaux batéké, et nous avons capté leurs voix. Nous avons ensuite ramené trois filles dans mon studio de Libreville, le Elumba 2. C’est un studio de 48 pistes qui est la copie de celui de Los Angeles, le Elumba 1.

C’est important pour vous de défendre le patrimoine gabonais ?

Le folklore gabonais est très riche. Par exemple, les chansons qui sont chantées au nord, vous ne les trouverez pas au sud, celles qui sont chantées à l’ouest vous ne les trouverez pas à l’est. Comme je parle tous les dialectes du Gabon, je peux chanter dans tout le pays. C’est de cette facilité-là dont j’ai profité pour faire l’album. J’ai chanté en quatre dialectes: en fang, en batéké, en bapounou et en myéné.
En fait, vous avez enregistré cet album entre Paris et Libreville…J’ai un groupe de musiciens à Libreville. Mais pour avoir une dimension internationale, nous avons été avec Edgar Yonkeu au studio de La Bastille, à Paris. J’y ai invité Jacob Desvarieux, que j’avais rencontré à Los Angeles lorsqu’il était venu avec Kassav, Guy Nsangue, Valerie Lobé… Un orchestre à cordes nous a rejoints. Mon ami Quincy Jones m’a par ailleurs donné une chanson, Mbomo Awa, dans laquelle il a programmé toute la musique.

samedi 14 avril 2007


Patience Dabany...You need to listen this tipical music from Gabon...One of the best voice

Patience Dabany est un cas à part. Cette chanteuse gabonaise exilée à Los Angeles, amie de Thelma et Withney Houston, a épousé, il y a bien longtemps, en octobre 59, un jeune compatriote, Albert-Bernard Bongo. Lorsque ce dernier devient, en 1967, président du Gabon, elle est la Première dame du pays. On l’appelle Madame la présidente dix-huit ans durant, avant qu’elle ne quitte son époux pour entamer une carrière artistique entre l’Afrique et les Etats-Unis. Depuis, le peuple gabonais l’appelle «Maman». Parce qu’elle est la mère de trois enfants du Président, dont Ali, ministre de la Défense. Et aussi parce qu’elle a aidé une nouvelle génération d’artistes à démarrer, comme Oliver NGoma, Aziz Inanga ou Angèle Assélé.
Elle vient de sortir un septième opus, Obomiyia, avec la participation de Quincy Jones, Jacob Desvarieux, produit par le Camerounais Edgar Yonkeu. Un disque qui sent bon la forêt gabonaise et qui se veut une initiation à un voyage folklorique dans ce pays coupé en deux par l’Equateur. "Folklorique, certes, concède Edgar Yonkeu, mais il fallait y rajouter des ingrédients pour que les oreilles occidentales puissent l’écouter. Faire chanter des choeurs pygmées, c’est facile, mais les rendre accessibles aux danseurs des boîtes de nuit de Libreville à Los Angeles est une autre affaire." Car Patience Dabany a cette volonté de faire carrière des deux côtés de l’Atlantique. Entretien.

La musique est pour vous une affaire de famille. Vous avez commencé très jeune. Dans ma famille, tout le monde chante. A commencer par mes parents. Mon père était accordéoniste, et lorsqu’il jouait, nous, on chantait. Tout est parti de là. Je ne peux pas travailler sans chanter. Tout le monde, y compris mes enfants chantent. Quand j’étais Première dame du Gabon, je composais pour un groupe. Quand j’avais des réunions politiques avec les femmes, je leur apprenais des chansons puisque je dirigeais les groupes d’animation politique. Mais je ne pensais pas alors à faire de la musique.

jeudi 12 avril 2007

Entrée principale du Ministère des Affaires Etrangères...


view from window 2 Competition

Une photo d'actualité...


Voila comment se passe les grèves à Libreville...ceux ci sont mes collègues... LOL, on grève en dansant tant qu'à faire pourquoi pas...on ne perd pas le sourire en afrique contrairement à ceux que pense certains. Cette vue est vraiment symbolique car nous réclamons le minimum aux nos dirigeants afin de mieux exercer nos fonctions...cette ne sera pas comme les autres ces photos qui nous montre que la beauté d'un paysage? D'une action? D'un animal...et les photos de comportement humains? En voila la preuve !!!!On est assis en plein air, eh oui pourquoi marcher des kilomètres pour qu on nous écoute...nous sommes assis sous le soleil brûlant, en discutant des éventuelles espoirs de changements.





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Alors celle n'est-elle pas originale? Vue de ma voiture, eh oui ça c'est l'Afrique...voila comment les librevillois des petits quartiers transportent leurs casiers de bouteilles en chantant et saluant tout le monde en passant et via livraison chez le libanais du coin...ou malien qui tient sa petite boutique...brouette, du caoutchouc et voila les bouteilles de coca cola et orangina vont être livrer par cet homme torse nus qui a chaud !!!! mais il a la joie de vivre et oui au Gabon même dans les villages les plus reculés les gens font la fêtes et peuvent s'offrir un vraie coca bien glacé...

mercredi 11 avril 2007

mardi 10 avril 2007

Le perroquet du Gabon et un mignon petit singe




Une superbe vue du bord de mer...


Je vous présente des statuettes qui ont été crée à l'occasion d'un évènement privé où les artistes venus des quatre coins de l'Afrique devaient nous présenter leurs oeuvres.

Notre Président dans les années 70...

Très yéyé....sportif et ambiteux !!!! El Hadj Omar Bongo Ondimba dans sa jeunesse.